Kaishu. Ce nom trouve sa racine dans le terme kai, modèle à imiter, et signifie donc : modèle d’écriture à imiter”.
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奔放時卻守書之法度 精微處能顯筆之氣韻
Format 47 x 65 cm
Expansif et plein
d’allant, le pinceau doit respecter les règles de l’art calligraphique
Minutieux et nuancé,
le pinceau sait faire dégager le charme et les délices de cet art
Pour apprendre la calligraphie, comme pour apprendre toute chose, mieux vaut suivre le bon chemin : commencer par le plus élémentaire et finir par le plus sophistiqué. Le kaishu, forme régulière de la calligraphie chinoise, constitue la base la plus fondamentale ; il est enseigné en Chine à l’école primaire comme le premier pas sur le long parcours de calligraphie.
Le kaishu est animé et nourri par toutes les techniques de base de la calligraphie chinoise, On ne saurait brûler cette étape certes monotone mais élémentaire, si l’on veut bâtir les connaissances sur la langue chinoise et les mouvements graphiques qui permettent d’aller graduellement vers le sommet de cet art complet et sublime.
Mon enseignement de calligraphie est basé sur de nombreux exercices pratiques à travers soixante unités dont chacune comprend un radical et cinq caractères qui sont composés avec celui-ci. Au bout de la pratique patiente et répétée de ces soixante radicaux les plus élémentaires, on pourra maîtriser les techniques de base qui permettent d’accéder à l’étape suivante : le xingshu.
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